Dans le nouveau Psychonauts 2 développé par la talentueuse équipe du studio Double Fine Productions, vous incarnez Razputin Aquilo, alias Raz, un héros pas comme les autres qui a la capacité de se glisser dans les pensées des gens grâce à de puissantes capacités psychiques pour en tirer de précieuses informations. Psychonauts 2 poursuit l’histoire là où elle s’arrêtait dans les précédents jeux et notamment l’opus VR « Psychonauts In the Rhombus of Ruin ».
En tant que jeune recrue et tout nouveau stagiaire de l’organisation internationale d’espionnage psychique appelé « Psychonauts », Raz va se lancer dans une enquête pour découvrir qui est la taupe au sein de l’organisation qui a permis le kidnapping du grand chef des Psychonautes. Au cours de cette aventure déjantée, vous traverserez des endroits étranges et découvrirez une histoire pleine d’humour avec des personnages hauts en couleur… Après quelques heures de jeu seulement viendra la question de comment sauvegarder votre partie pour marquer une petite pause !
Comment savoir si sa partie a bien été sauvegardée dans Psychonauts 2 :
Il faut tout d’abord savoir qu’il n’y a aucune fonction dans le jeu permettant de faire une sauvegarde manuelle… Psychonauts 2 utilise uniquement un système de sauvegardes automatiques. À mesure que vous progressez dans l’aventure, le jeu enregistre votre progression. Ça arrive chaque fois que vous faites quelque chose d’important ! Après un combat, quand vous ramassez un objet, quand vous terminez une quête ou même après une scène. Si vous voulez être certain que Psychonauts 2 a bien enregistré votre partie, le mieux est d’ouvrir le menu pause et de choisir l’option « retour à l’écran titre ».
Psychonauts 2 vous demandera si vous voulez vraiment quitter vous notifiant au passage que toute progression non sauvegardée sera perdue. C’est à cet endroit que vous pouvez savoir à quand remonte la dernière sauvegarde. De quoi vous permettre de quitter le jeu sereinement en sachant que votre progression de Psychonauts 2 a bien été enregistrée.
